• Son sport
    Le para tennis de table est une passion pour Florian Van Acker, un athlète déterminé à surmonter tous les obstacles.
  • Sa voiture
    Sur la route vers la victoire, il compte sur sa Toyota Yaris Cross pour le conduire vers de nouveaux succès.
  • Ses victoires
    Florian Van Acker, parmi les meilleurs du para tennis de table, décroche la médaille de bronze aux Jeux de Tokyo 2020 avec une performance exceptionnelle.
  • Une discussion avec Florian

    Florian Van Acker, phénomène belge du tennis de table, dépasse toutes les attentes dans son ambition d'atteindre le sommet du sport paralympique.
Toyota croit que chaque petit pas mène à un grand bond en avant, plus loin qu'on ne l'aurait jamais cru possible. Pour vous, quels sont les petits pas ?

« Mes petits pas consistent à poser des questions à mes entraîneurs, aux personnes qui connaissent les subtilités du tennis de table et à mes proches. Ces derniers me donnent des explications que je comprends bien, malgré mon autisme. J'utilise également le coaching mental pour croire davantage en moi. En outre, il est essentiel de regarder et d'apprendre de petites choses en détail pour progresser au plus haut niveau. C'est pourquoi je regarde toujours des vidéos d'athlètes de haut niveau sur YouTube et je m'interroge sur la manière dont ils font certaines choses pour progresser. » 

  • Qu'est-ce qui vous motive à repousser vos limites au quotidien et à vous dépasser dans votre sport ?

    « Ma motivation à repousser mes limites quotidiennement en tennis de table est de devenir une sorte de « maître » dans mon sport. Je m'efforce de m'améliorer constamment car il y a toujours des erreurs qui peuvent être corrigées. Cela s'applique aussi bien au matériel qu'à la technique et à la tactique. » 

Pouvez-vous décrire un moment ou un événement précis où vous avez eu l'impression d'aller « au-delà », plus loin que vous ne l'auriez cru possible ?

« Un moment très particulier qui me marque encore est celui des Jeux Paralympiques de Rio en 2018. J'ai joué la finale et j'étais mené 1-2. À un moment donné, j'ai pensé à mes parents, qui font tout pour moi, assis là dans la salle. Mon père Eric, qui me conduit aux entraînements jour après jour sans jamais y déroger, et l'idée que je puisse perdre ici, je ne pouvais pas l'accepter. JAMAIS. Et tout d'un coup, il y a eu ce moment où je me suis dit « allons plus loin » ! C'est ainsi que j'ai terminé à 3-2 et que j'ai gagné la médaille d'or. » 

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